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Photographie | Littoraux | Géographie | Bord de mer | Sable | Arcachon (Gironde) | Botanique | Peinture | Biologie marine | Dessins et plans | Gravure | Jetées | Écologie des rivages | Falaises | Érosion | Dunes | Pins | Rogliano (Haute-Corse) | Oiseaux | Oiseaux du bord de mer | ...
Paysage littoral au Danemark. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e0d25b-paysage-littoral-au-danemark

Paysage littoral au Danemark

Littoral occidental de Suðuroy dans les îles Féroé (en féroïen : Føroyar, prononcé [ˈføːɹjaɹ] ; en danois : Færøerne, prononcé [ˈfɛɐ̯ˌøːˀɐnə]) : archipel subarctique situé entre la mer de Norvège et l'océan Atlantique nord, à peu près à mi-chemin entre l'Écosse et l'Islande. Les îles Féroé forment un pays constitutif du royaume du Danemark, avec le Danemark et le Groenland. Elles couvrent 1 400 km2 pour une population en 2010 de presque 50 000 habitants appelés Féringiens. Les îles Féroé sont une province autonome du royaume du Danemark depuis 1948 ; elles possèdent un gouvernement qui leur est propre et qui a compétence dans toutes les affaires à l'exception de la Défense (un ministre des Affaires étrangères fut nommé en 2008). L'érosion et l'altération puis le transport et le dépôt des sédiments ont largement participé à l’élaboration du modelé des paysages volcaniques actuels. Les côtes des îles sont accidentées et rocheuses : même si quelques crêtes basses sont présentes, la plupart des côtes sont à falaises. Dans le cas des îles Féroé, les géomorphologues parlent de méga-falaises (max. 725 m) pour ces murailles côtières vertigineuses parmi les plus remarquables du monde. La raideur de l’abrupt se termine par une rupture de pente à la base qui correspond au passage à la plate-forme d’abrasion littorale. Fjords et vallées glaciaires se sont dessinés au Quaternaire.

Ponta de São Lourenço sur l'île de Madère (Portugal). Source : http://data.abuledu.org/URI/5323a57c--ponta-de-s-o-lourenco-sur-l-ile-de-madere-portugal-

Ponta de São Lourenço sur l'île de Madère (Portugal)

Photographie de la zone de Ponta de São Lourenço sur l'île de Madère au Portugal.

Archipel des Hébihens en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5358d31c-archipel-des-hebihens

Archipel des Hébihens en Bretagne

L'archipel des Hébihens (ou Ébihens) vu depuis la pointe du Chevet à mi-marée, commune de Saint-Jacut-de-la-Mer (Côtes-d'Armor). C'est un petit archipel français, prolongeant la presqu'île de Saint-Jacut-de-la-Mer. Le rocher principal, d'une superficie de 20 hectares, est une des quelques îles privées de Bretagne, occupée principalement en été. La légende veut que son isolement date du raz-de-marée qui aurait détruit la forêt de Scissy, forêt mythique située dans la baie du mont Saint-Michel, en 709 et que les plages qui l'entourent étaient alors recouvertes d'arbres et d'herbus. Pour les historiens et les scientifiques, la montée des eaux date, non pas de 709, mais de plus de 10 000 ans, à la fin de la dernière glaciation. Des fouilles entreprises ont mis au jour des vestiges attestant d'une occupation gallo-romaine de l'archipel dès avant notre ère. Un petit village coriosolite y fut érigé. Coriosolite signifiant "de Corseul" ; alors la capitale gauloise locale. Vauban ordonna l'édification d'une tour sur l'îlot principal qui fut construite de 1694 à 1696 par le comte Louis de Pontbriand qui était capitaine garde-côte du littoral de Saint-Malo et propriétaire de l'îlot. Cette tour fut notamment financée par un impôt perçu sur les prises de maquereaux réalisées lors de certains jours de fêtes chômés. Elle est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 15 juillet 2010. Lors de la dispersion des biens du clergé, les Ébihens furent vendus à Jean-Georges Michel, l'un des capitaines de course de Robert Surcouf, pour une somme dérisoire. Aujourd'hui, cette propriété privée est partagée entre cinq propriétaires, majoritairement descendants directement ou non de Jean-Georges Michel. Ils veillent avec patience et énergie à ce que ce site naturellement protégé par son insularité, perdure pour les générations futures. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Archipel_des_%C3%89bihens

Armérie maritime sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad28f6-armerie-maritime-sauvage

Armérie maritime sauvage

Oeillets marins, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'armérie maritime (Armeria maritima), œillet marin, gazon d'Olympe ou gazon d'Espagne, est une espèce de plantes herbacées vivaces de la famille des Plumbaginaceae. Sa répartition est au niveau du littoral de l'hémisphère nord. En France, elle est rencontrée sur les côtes de la Manche et de l'Atlantique (Vendée, Bretagne), sur les rochers et pelouses de bords de mer, battus par les embruns. C'est une plante basse à souche ramifiée, formant des coussinets, à feuilles linéaires, à fleurs roses en têtes denses, arrondies. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9rie_maritime

Bécasse des bois en bord de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134e68a-becasse-des-bois-en-bord-de-mer

Bécasse des bois en bord de mer

Bécasse des bois en bord de mer affamée et perdue (hungry and homeless), 1908, par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel.

Carte de la réserve du Cap Tourmente au Québec. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fde64f-carte-de-la-reserve-du-cap-tourmente-au-quebec

Carte de la réserve du Cap Tourmente au Québec

Carte de la réserve du Cap Tourmente au Québec en bordure du St Laurent. La réserve du cap Tourmente couvre 2 396 ha sur les berges de l'estuaire du Saint-Laurent à la rencontre des régions géologiques des basses terres du Saint-Laurent et du plateau laurentien16. La rencontre de l'escarpement du plateau et des premiers kilomètres de l'estuaire du fleuve provoque un microclimat où l'hiver est légèrement moins froid, mais plus humide que dans les régions avoisinantes et l'été plus frais. On identifie quatre éléments géomorphologiques sur la réserve : la batture ou l'estran, la plaine, la plateau laurentien et, à la jonction du plateau et de la plaine, la zone de contact. 1) L'estran se compose de la slikke, de la haute slikke et du schorre. Une microfalaise d'environ un mètre sépare la slikke du schorre. Le marécage côtier est établi sur le schorre. La slikke et le schorre sont traversés de chenaux de marée par où s'écoulent les eaux lors du jusant. La haute slikke est la zone colonisée par le Scirpe d'Amérique et forme ainsi le marais intertidal. Un talus de plusieurs mètres sépare le schorre de la plaine. 2) La plaine s'insère entre l'estran et le plateau laurentien. La plaine, qui repose sur un substrat de shale d'Utica, est structurée en quatre terrasses façonnées par le retrait en phases successives de la mer de Goldthwait. Les dépôts de sédiments laissés par la mer ont rendu les terres très fertiles pour l'agriculture. 3) Le plateau laurentien avec l'escarpement qu'il engendre constitue un trait marquant du paysage de la réserve. Certaines falaises ont un dénivelé vertical de presque 100 mètres et le point le plus haut de la réserve s'élève à 571 mètres d'altitude. 4) La zone de contact est constituée par un amalgame des éléments de la plaine et du plateau. L'érosion (érosion fluviale, éboulis) entraîne vers le bas du versant pierres, sédiments et minéraux caractéristiques du plateau qui s'amoncellent avec les sédiments et la roche sédimentaire propres à la plaine.

Deux îles de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e7292d-deux-iles-de-l-antarctique

Deux îles de l'Antarctique

L.L. Ivanov et al., Antarctica : Carte des îles de Livingston et de Greenwich, échelle au 1:100000, dans les îles Shetland du Sud, au Nord de l'Antarctique. Montage photo présentant les spécificités des deux îles. L'île de Livingston est située dans l’Océan austral entre le passage de Drake et le détroit de Bransfield, à la distance de 110 km au nord-ouest de la Péninsule Antarctique et 830 km au sud-sud-est du cap Horn. Son sommet principal, la Montagne de Tangra, est situé au sud-est de l'île et culmine à 1700 m. La majeure partie de sa surface est recouverte d'une calotte de glace, qui forme la ligne côtière dans beaucoup de secteurs. Le climat est antarctique maritime. Les températures sont plutôt constantes : elles n'excèdent que rarement 3°C l'été et ne descendent que peu en dessous de –11°C pendant l'hiver. Toutefois, l'île est célèbre pour son mauvais temps, qui est hautement variable, venteux, humide et très peu ensoleillé. Livingston a été découvert par l'Anglais William Smith, le 19 février 1819, et pendant les années qui suivirent, l'île est devenue un centre d'exploitation de ressources vivantes marines. Il reste de cette époque des cabanes, des bateaux et d'autres objets façonnés par les chasseurs de phoques américains et anglais du XIXe siècle. Livingston possède la plus grande concentration de lieux historiques ou symboliques de l'Antarctique, après la Géorgie du Sud. L'île est régie par le régime du Traité sur l'Antarctique. Les bases scientifiques Juan Carlos I (Espagne) et Saint-Clément-d’Ohrid (Bulgarie) se trouvent dans la baie sud de Livingston depuis 1988, et la petite base de Cap Shirreff (Chili et É.-U.) est elle active depuis 1991. Il y a deux aires naturelles protégées sur l’île, la Péninsule Byers et le Cap Shirreff. Le Point Hannah sur le littoral sud de Livingston et l’île Half Moon, près de la côte est, sont des destinations parmi les plus populaires du tourisme antarctique et austral extrême, souvent visitées par des bateaux d’excursion.

Dune littorale. Source : http://data.abuledu.org/URI/53d18850-dune-littorale-

Dune littorale

Dune littorale attaquée par la mer, les racines des arbres ne suffisent plus à fixer le sable ; la dune de protection couverte d'oyats servant habituellement de "tampon" a disparu. 22 juillet 2014.

Ensablement de la baie de Milet. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d3f116-ensablement-de-la-baie-de-milet

Ensablement de la baie de Milet

Carte de l'évolution de l'ensablement de la baie de Milet dû aux alluvions déposées par le Méandre, depuis l'époque archaïque jusqu'à l'antiquité tardive. Sont aussi montrés le parcours actuel du Méandre, le littoral actuel et diverses agglomérations modernes.

Érosion à Étretat. Source : http://data.abuledu.org/URI/50955168-erosion-a-etretat

Érosion à Étretat

Un produit de l'érosion du littoral : l'arche naturelle de la Manneporte, Etretat, France. L'érosion peut creuser la roche et donner naissance à des modelés de dissection. Les falaises d'Étretat sont constituées de calcaire du Crétacé, c'est-à-dire, pour l'essentiel, de la craie blanche à silex du Sénonien, plus précisément du Turonien au Coniacien. On y distingue les strates régulières de silex, ce qui explique la présence de galets sur la plage. En effet, à la suite de l'effondrement de pans de falaise, le calcaire et le silex se trouvent au contact de l'eau de mer qui dissout le calcaire et l'action des vagues polit le silex pour en faire des galets. L'existence de trois arches successives : la porte d'Amont, la porte d'Aval et la Manneporte ne serait pas liée à l'origine à l'érosion marine, mais à l'action d'une rivière côtière parallèle à la plage qui aurait creusé son lit dans la falaise avant le recul de celle-ci, matérialisé par l'« aiguille » d'un calcaire plus dur qui a empêché sa dissolution définitive, d'où cette extraordinaire création de la nature. Ensuite, la mer aurait élargi les arches, donnant au site l'aspect qu'on lui connait aujourd'hui. Une autre hypothèse met au contraire l'accent sur une érosion différentielle par la mer, qui serait liée aux caractéristiques de dureté de la craie locale dans la zone de balancement des marées.

Établissement de bains de mer au XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/524ed8f1-etablissement-de-bains-de-mer-au-xixeme-siecle

Établissement de bains de mer au XIXème siècle

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.245 : manuel scolaire, édition de 1904 : UN ÉTABLISSEMENT DE BAINS DE MER EN NORMANDIE. - Tous les ans, l'été, des milliers de personnes vont prendre des bains de mer, dans les villes ou villages du littoral, car l'eau salée de la mer est fortifiante, surtout quand on n'y reste pas plus de cinq minutes. La ville de Paris envoie chaque année aux bains de mer, pour les récompenser, les meilleurs élèves de ses écoles.

Falaises de craie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e1769b-falaises-de-craie-

Falaises de craie

Tableau de Caspar David Friedrich (1774–1840) : Falaises de craie sur l'île de Rügen, 1818. Cette île allemande est située au large de la côte de la Mecklembourg-Poméranie occidentale dans la mer Baltique. Sa superficie est de 935 km² et sa population était de 73 000 habitants en 2001. À la fin de l'ère glaciaire, il y a 14 000 ans, la remontée du niveau des eaux de la Baltique recouvrit une partie des côtes. Les points hauts formèrent un chapelet d'îles que des dépôts de sable relièrent entre elles en quelques siècles pour former l'île de Rügen, qui compte désormais 570 km de côtes. Le Parc national de Jasmund inclue les célèbres falaises calcaires qui culminent à plus de 100 mètres au-dessus de la mer dont le Königsstuhl (traduction littérale = chaise du roi), immortalisé par le peintre romantique C. D. Friedrich. La craie de Rügen est réputée pour ses vertus médicales. La poudre de craie est utilisée par les stations thermales de l'île en application dermatologique ou cosmétique.

Goélands et étoile de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/51489812-goelands-et-etoile-de-mer

Goélands et étoile de mer

Goéland (Larus occidentalis) mangeant une étoile de mer (Pisaster ochraceus) sur un littoral rocheux.

Jetée du Moulleau à marée basse. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bb9375-jetee-du-moulleau-a-maree-basse

Jetée du Moulleau à marée basse

Jetée du Moulleau à marée basse, Gironde.

L'Aven et ses rochers à Pont-Aven. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bd532a-l-aven-et-ses-rochers-a-pont-aven

L'Aven et ses rochers à Pont-Aven

La commune de Pont-Aven est une commune proche du littoral atlantique bordée à l'est par la rivière Aven. La petite ville de Pont-Aven est située au bord de cette rivière, à l'endroit où elle s'élargit en estuaire. Les eaux de la rivière se faufilent au milieu d'un chaos d'énormes rochers avant de rejoindre la mer.

La vieille jetée. Source : http://data.abuledu.org/URI/56e4917a-la-vieille-jetee

La vieille jetée

La vieille jetée, "A book of images", 1898, par William Thomas Horton (1864-1919).

Lamantin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa726f-lamantin

Lamantin

Lamantin (Trichechus manatus) se nourrissant dans un herbier. le Lamantin est un mammifère herbivore se nourrissant exclusivement de plantes aquatiques (50 kg par nuit environ), jouant ainsi un rôle écologique important pour la pénétration de la lumière dans l'eau. Vivent en eaux littorales peu profondes, dans l'embouchure des fleuves et les marais côtiers de la zone tropicale de l'Atlantique. Leur faciès large et leur mode d'alimentation leur vaut parfois le surnom de « vaches de mer » ou « vaches marines ».

Lavande de mer en fleurs dans les marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/507026a9-lavande-de-mer-en-fleurs-dans-les-marais

Lavande de mer en fleurs dans les marais

Lavande de mer en fleurs dans les marais de Southampton, Angleterre.

Le sémaphore en 1923. Source : http://data.abuledu.org/URI/5558511e-le-semaphore-en-1923

Le sémaphore en 1923

Le sémaphore en 1923, par Jean-Émile Laboureur, graveur français.

Marée montante sur les bancs de sable. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bb9317-maree-montante-sur-les-bancs-de-sable

Marée montante sur les bancs de sable

Marée montante sur les bancs de sable, Moulleau, Gironde.

Mer d'hiver au Portugal. Source : http://data.abuledu.org/URI/51afba3e-mer-d-hiver-au-portugal

Mer d'hiver au Portugal

Mer d'hiver au Portugal.

Ophiure. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bb6bde-ophiure

Ophiure

Ophiure couleur de sable à Péreire à marée basse, Arcachon-33, juillet 2015.

Ophiure couleur de sable à Péreire à marée basse. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bb6b80-ophiure-couleur-de-sable-a-pereire-a-maree-basse

Ophiure couleur de sable à Péreire à marée basse

Ophiure couleur de sable à Péreire à marée basse, Arcachon-33, juillet 2015.

Panicaut maritime en fleurs au Cap Ferret au mois de juin. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bbf2f4-panicaut-maritime-en-fleurs-au-cap-ferret-au-mois-de-juin

Panicaut maritime en fleurs au Cap Ferret au mois de juin

Panicaut maritime (Eryngium maritimum) : c'est une plante vivace vert-bleuté aux feuilles coriaces, épineuses, aux fleurs bleues en capitules arrondis. On le rencontre en taches parfois importantes dans les dunes et zones de galets du littoral. Il fleurit de juin à septembre. "L'été rit, et l'on voit sur le bord de la mer / Fleurir le chardon bleu des sables." (Victor Hugo, Les contemplations, Paroles sur la dune). Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Panicaut_maritime

Peuplier noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983412-peuplier-noir

Peuplier noir

Planche N° 305 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Peuplier noir (Populus nigra). La floraison a lieu de mars à avril ; la pollinisation ainsi que la dispersion du pollen se fait par le vent (anémophile). L’arbre atteint sa maturité sexuelle vers six ans, en produisant des chatons pendants ; les chatons mâles mesurent 8 à 10 cm de long à maturité et sont rouges/pourpres ; les chatons femelles sont vert-jaunâtre et longs de 6 à 8 cm à maturité. Les graines de cette espèce pionnière sont pauvres en réserves et ont une durée de vie plutôt courte, ce qui peut rendre l'espèce vulnérable à l'insularisation écologique ou à la fragmentation écopaysagère. Elles colonisent des sols riches et dénués de végétation tel que les grèves et bancs de sable humides abandonnés par l'eau durant l'été, en compagnie d'autres essences de bois tendre, comme les saules. Dans de bonnes conditions (soleil, sol riche, humidité) l'arbre pousse vite, avec de larges cernes de croissance, mais avec un houppier relativement sensible à la casse en cas de tempêtes. C'est une espèce caractéristique des ripisylves arborescentes ourlant les berges alluvionnaires d'un certain nombre de cours d'eau (en évolution dynamique). Il est encore présent près de la mer (notamment près de l'embouchure de la Loire) et est assez résistant aux embruns. Il semble avoir été autrefois présent très près de la mer dans le nord, par exemple avec des peupliers blancs et trembles dans les pannes dunaires de Dunkerque à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, signalé par l'Abbé Arthur Labeau dans une note sur la « flore maritime du littoral français de la mer du nord ».

Phare des Roches-Douvres dans les Côtes-d'Armor. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f67b9-phare-des-roches-douvres-dans-les-cotes-d-armor

Phare des Roches-Douvres dans les Côtes-d'Armor

Le phare des Roches-Douvres est un phare français situé sur le plateau des Roches-Douvres, entre les îles de Bréhat et Guernesey, dans la Manche. C’est le dernier phare en mer construit en France. C’est le plus spacieux et c’est aussi le phare le plus éloigné du continent, puisqu’il est érigé à environ 40 kilomètres du littoral, dans la Manche, au large de Paimpol dans les Côtes-d'Armor. Il est érigé sur un plateau rocheux très dangereux pour la navigation : entièrement recouvert par la haute mer et encerclé par de forts courants. Le nom est une francisation du breton Roquedouve qui lui-même se serait formé à partir de Rochedoù qui signifie "les chemises" en breton. Les chemises, comme les draps blancs que l’on étendait sur la lande lors des grandes lessives et que l’on voyait de très loin, par analogie avec la blancheur de la houle que de très loin, on voit déferler, en approchant du plateau des Roches-Douvres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_des_Roches-Douvres

Pin d'Alep à Sète sur le Mont Saint-Clair. Source : http://data.abuledu.org/URI/54bba44e-pin-d-alep-a-sete-sur-le-mont-saint-clair

Pin d'Alep à Sète sur le Mont Saint-Clair

Un pins d'Alep (Pinus halepensis) dans la Forêt domaniale de Sète sur le mont Saint-Clair. Dans le fond, la plage et le cordon littoral entre la Mer Méditerranée à gauche, et l'Étang de Thau à droite, qui relie Sète et Marseillan (Hérault).

Pinasse à l'ancre à Péreire. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bb69a0-pinasse-a-l-ancre-a-pereire

Pinasse à l'ancre à Péreire

Pinasse à l'ancre à Péreire, Arcachon-33, juillet 2015.

Plage à posidonies de Macinaggio. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d207a1-plage-a-posidonies-de-macinaggio

Plage à posidonies de Macinaggio

Macinaggio, marine de Rogliano, plage avec dépot de posidonies. Tirant son nom du dieu de la mer grec Poséidon, elle joue plusieurs rôles fondamentaux pour le milieu marin littoral. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu. Lorsque les herbiers de posidonie se développent au fond de criques de très faible profondeur, les plantes affleurent la surface et peuvent créer un récif barrière, par analogie aux récifs coralliens, contribuant à la formation d'un biotope particulier.

Plage de Budva au Monténégro. Source : http://data.abuledu.org/URI/556107fa-plage-de-budva-au-montenegro

Plage de Budva au Monténégro

Plage de Budva au Monténégro.

Roquette de mer sur la dune. Source : http://data.abuledu.org/URI/582eb574-roquette-de-mer-sur-la-dune

Roquette de mer sur la dune

Roquette de mer (Cakile maritima) au pied de la dune littorale, au sud de Capbreton, Landes, France.

Salicornes sur le littoral. Source : http://data.abuledu.org/URI/5412f9cd-salicornes-sur-le-littoral

Salicornes sur le littoral

Salicornes (Salicornia europaea) en bord de mer.

Sentier pédestre littoral. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bbb0c3-sentier-pedestre-littoral

Sentier pédestre littoral

Sentier pédestre littoral, La Teste-de-Buch, Gironde, juin 2015.

Sterne arctique en vol. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e3f41e-sterne-arctique-en-vol

Sterne arctique en vol

Sterne arctique en vol (sterna paradisae) près du barrage de l'Eider en mer du Nord (Allemagne). Les sternes sont aussi appelées hirondelles de mer. C'est un oiseau migrateur qui est témoin de deux étés chaque année, puisqu’il effectue un aller-retour à partir de ses aires de reproduction dans le nord, jusqu’aux océans près de l’Antarctique où il hiverne (ce qui représente un trajet pouvant atteindre couramment 70 000 km). La Sterne arctique vole de ce fait huit mois par an.

Syngnathe à marée basse. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bb734c-syngnathe-a-maree-basse

Syngnathe à marée basse

Syngnathe à marée basse à Péreire, Arcachon-33, juillet 2015.

Tamaris en bord de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/5453b0f4-tamaris-en-bord-de-mer

Tamaris en bord de mer

Tamaris (Tamarix gallica) sur la plage de Vic-la-Gardiole, dans l'Hérault.

Tondeuse au Cap Béveziers. Source : http://data.abuledu.org/URI/5369e40c-tondeuse-au-cap-beveziers

Tondeuse au Cap Béveziers

Tondeuse au Cap Béveziers (Beachy Head), promontoire de craie sur la côte sud de l'Angleterre, près de la ville d'Eastbourne (comté de l'East Sussex), immédiatement à l'est des Seven Sisters, Sussex. Sa falaise est la plus haute falaise côtière de craie en Grande-Bretagne, s'élevant à 162 mètres au-dessus du niveau de la mer.

Touffe d'oyat sur la Dune du Pilat. Source : http://data.abuledu.org/URI/504666dd-touffe-d-oyat-sur-la-dune-du-pilat

Touffe d'oyat sur la Dune du Pilat

Photographie d'une touffe d'oyat (Ammophila arenaria) à la Dune du Pilat-33 : plante utilisée pour fiser les dunes de sable littorales du Golfe de Gascogne.

Tour génoise de la Parata, 1550. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa3c2-tour-genoise-de-la-parata-1550

Tour génoise de la Parata, 1550

Description et plan de la tour génoise de la Parata (1550). Joseph de Fréminvile, Tours génoises du littoral corse, 1894. Le littoral corse est constellé de tours (en corse torri), devenues un des symboles de l'île. Bien que toutes ne soient pas d'origine génoise, on les appelle généralement "tours génoises", sans distinction. La construction de ces tours génoises est la conséquence de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ; les Barbaresques commencent à razzier les côtes et le feront pendant trois siècles. Elle débuta au XVIe siècle à la demande des communautés villageoises pour se protéger des pirates. En 1530, la république de Gênes dépêche deux commissaires extraordinaires, Paolo Battista Calvo et Francesco Doria, pour inspecter les tours et fortifications chargées de défendre l'île des invasions barbaresques. En 1530 la Corse a 23 tours dont 10 au Cap. Dès 1531, l'édification de quatre-vingt-dix tours est décidée sur le littoral corse, dont trente-deux dans le Cap Corse. Les travaux commencent sous la supervision de deux nouveaux commissaires extraordinaires génois : Sebastiano Doria et Pietro Filippo Grimaldi Podio. Il s'agissait d'étendre à la Corse le système de vigilance déjà en vigueur sur le pourtour méditerranéen. Ces vigies placées en avant-poste prévenaient et défendaient des attaques des Barbaresques et de tous les dangers venant de la mer. En 1730 l'île a 120 tours dont 30 au Cap. Aujourd'hui, sur les 85 tours dénombrées au début du XVIIIe siècle, 67 demeurent encore debout.

Tour génoise des îles Finocchiarola. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d20594-tour-genoise-des-iles-finocchiarola

Tour génoise des îles Finocchiarola

Les îles Finocchiarola (en corse Finuchjarola) forment un archipel inhabité de la mer Tyrrhénienne. Elles se trouvent toutes proches de la côte nord-est du Cap Corse, sur la commune de Rogliano, entre la baie de Tamarone (au sud) et celle de Santa Maria (au nord), et sont constituées de trois îlots désertiques : A Terra, le plus proche de la côte (200 m) ; Mezzana, l'îlot central ; Finocchiarola, le plus grand, le plus haut et le plus au large des îlots (500 m), qui culmine à 27 m au niveau de la tour ruinée. En 1594, une tour littorale fut construite au point culminant du plus grand îlot. Elle était destinée à la défense du Cap corse sous l'occupation génoise et est aujourd'hui en état de ruine. Les deux îlots les plus au larges sont la propriété du Conservatoire du littoral aujourd'hui, et le troisième entre dans sa zone d'intervention. L'archipel fait partie de la Réserve naturelle des îles Finocchiarola depuis 1987. La réserve fut principalement mise en place pour la préservation du goéland d'Audouin, espèce endémique. Les îlots présentent une faune et une flore très particulière. Ils tirent d'ailleurs leur nom d'une plante caractéristique, le fenouil sauvage, finochju en corse.

Traces dans le sable. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bb6c5f-traces-dans-le-sable

Traces dans le sable

Traces dans le sable à marée basse à Péreire, Arcachon-33, juillet 2015

Traces dans le sable à marée basse. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bb6e33-traces-dans-le-sable-a-maree-basse

Traces dans le sable à marée basse

Traces dans le sable à marée basse à Péreire, Arcachon-33, juillet 2015.

Traces dans le sable à marée basse. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bb6ebc-traces-dans-le-sable-a-maree-basse

Traces dans le sable à marée basse

Traces dans le sable à marée basse à Péreire, Arcachon-33, juillet 015.

Traces sur le sable mouillé. Source : http://data.abuledu.org/URI/55bb68d8-traces-sur-le-sable-mouille

Traces sur le sable mouillé

Traces sur le sable mouillé, Arcachon-33, juillet 2015.

Vie sous-marine des jetées de bord de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/5839c879-vie-sous-marine-des-jetees-de-bord-de-mer

Vie sous-marine des jetées de bord de mer

Jetée abandonnée dont les piliers servent de support à toute une faune sous-marine, Vineyard Haven, Massachusetts. Source : The American Museum journal (c1900-1918)